- 24 août 2018
- | Source: Dobbit
Faites votre jardin de rêve vous-même 10
Faites votre jardin de rêve vous-même - Ep. 10.1 - Idée de rangement
Dans cette 'minisérie de jardinage', nous aménageons un jardin complet. Dans cet épisode, nous allons faire un bac de potager en bois où vous aurez de l'espace pour stocker les déchets. Dans la première partie on fait le meuble de rangement.
Transcription
Dans cet épisode, on réalise une jardinière en bois avec un espace de rangement supplémentaire.
Dans ce premier épisode, on va vous montrer comment réaliser le coffrage de notre jardinière. Et dans la seconde partie, comment l’achever.
Comment déterminer les mesures de votre bac? Vous retrouverez toutes les indications dans nos plans de construction Dobbit, mais vous devez surtout prendre en compte une hauteur de travail idéale, et vérifier la taille de la poubelle que vous voulez cacher dans l’armoire.
Les plus gros travaux de notre jardin de rêve sont terminés. On a encore quelques problèmes pratiques, notamment quant aux déchets et éventuellement un espace de rangement. On a donc créé ici une jardinière, à une hauteur idéale pour travailler, et dans notre espace de stockage on va retrouver deux tiroirs où l’on pourra ranger nos outils. Et de l’autre côté, on pourra y jeter les déchets. Comment réaliser cette jardinière? C’est ce qu’on voit dans cet épisode.
Pour ce montage, on va utiliser du multiplex, ce qui rendra notre armoire solide. Pour la partie extérieure, ce sera du bois imprégné, plus adapté aux intempéries.
On va commencer par réaliser la base de notre armoire, à base de multiplex.
Et comme d’habitude, un plan de coupe est toujours idéal. Comment procéder? On indique toutes les mesures de notre armoire à bonne échelle sur un papier, comme si vous comptiez déjà en scier des pièces. Vous éviterez ainsi trop de pertes en bois lorsque vous aller les découper.
Comment réaliser une pièce en bois? Commencez toujours par placer la partie la plus jolie du côté visible. Ici toutefois cela n’a pas d’importance, puisque le multiplex sera du côté intérieur. Pour garder les pièces bien séparées, on les annote avec signes correspondants.
La plaque dorsale se visse avec les plaques latérales, à l’aide de colle à bois. Afin de bien visser au milieu sur le côté, on marque une ligne de support. Le côté mesure 15mm, donc notre ligne indicative se situera à 7,5mm.
Et comment visser en étant si près du rebord? En préforant! Et terminez autour des 4cm du coin, pour éviter les éclats et fêlures du bord lorsque vous vissez.
Pour le montage, vous voudrez travailler à angle droit. Et justement, notre table de support, avec une bordure à 90 degré, est totalement adéquate: on peut y maintenir à angle droit les pièces à fixer.
Sur le rebord, on pose un peu de colle à bois, on glisse les plaques l’une contre l’autre, et on maintient le tout avec une pince à colle. Les trous étant préforés, il ne vous reste plus qu’à visser.
Et puis vient encore la seconde plaque latérale à monter. On pose une nouvelle fois de la colle à bois, on serre bien l’ensemble, et puis on visse.
Il reste encore à monter le panneau frontal. Assemblez déjà tout ensemble, et indiquez où vous devrez percer: ce sera à nouveau à la moitié de l’épaisseur de la plaque.
Ne préforez que sur la première plaque. Vous remarquez à la sortie de la mèche comment le multiplex déjà commence à partir en éclats. Préforer ne sera donc pas un luxe.
Et on recommence : poser de la colle à bois, on resserre les panneaux ensembles, et on visse.
Il y a une règle à suivre : pour offrir un support, on place un panneau à l’arrière lui permettant de reposer par-dessus.
Pour le montage de cette plaque, on marque des indications.
Pour le préforage, on ne veut réaliser que la profondeur de la première plaque. Si vous deviez déjà entamer le préforage de la seconde plaque, vos vis disposeraient ensuite de moins d’accroche. Utilisez un peu de ruban adhésif pour indiquer la profondeur sur la mèche.
Une fois tout indiqué, vous pouvez alors procéder à la chaîne, pour gagner du temps.
Une cloison va séparer l’armoire en deux. Elle doit arriver précisément au milieu, ce que vous pouvez facilement calculer. Glissez le panneau contre une paroi, et mesurez l’intérieur. Il suffit de diviser cette distance par deux, et vous avez devant vous l’endroit précis où devra venir la cloison.
Indiquez la mesure avec l’équerre. Marquez où vous pouvez préforer. On se retrouve ici avec une paroi-écran, indiquez donc la profondeur de forage avec du ruban adhésif.
N’oubliez pas de mettre un peu de colle à bois. N’exagérez pas avec cette colle à bois, ce qui vous évitera de vous retrouver avec un excédant de colle à éliminer.
Notre armoire commence à prendre une forme sympathique. Placez le dernier panneau intérieur. En disposant de mesures très précies, tout devrait s’intercaler parfaitement. Mais il peut toujours arriver que le bois se reserre s’il n’y a pas assez de jeu. Avec quelques légers accoups au marteau, vous pouvez éventuellement un peu forcer.
Tracez les lignes où vous devez visser.
Travaillez avec de la discipline et indiquez toujours une ligne bien perpendiculaire pour réaliser un vissage à l’aveugle. Ce qui vous évitera de visser juste à côté de la plaque inférieure.
Ici on place encore une pince à colle, pour que toutes les plaques restent bien alignées. Et il ne reste plus qu’à visser.
Le coffrage extérieur est réalisé avec du bois imprégné. Les lattes sont assez longues, ce qui nous offre un peu de marge pour corriger les éventuelles imperfections du bois. Et des noeuds noirs doivent toujours être retirés, parce qu’ils finiront toujours par tomber avec le temps, et vous vous retrouveriez avec un trou dans votre bois.
On découpe les lattes avec une scie à dos. La consolidation du dos évite à la lame de trop danser durant la découpe, ce qui vous procure un tranchant beaucoup plus droit.
Une fois toutes les lattes sciées sur mesure, on peut les monter.
Etalez la colle avec un pinceau, afin d’éviter des tas de colle qui débordent une fois le film posé.
Pour un peu mieux protéger le multiplex, on va y apposer une couche de vernis, ce qui lui permettra de mieux résister aux intempéries.
Vous pourriez simplement visser les lattes, mais vous devriez alors toujours apercevoir les têtes de vis, ou alors vous devez prendre le temps de les noyer dans le bois. Pour éviter cela, on relie le bois à la paroi de l’armoire, et on le fixe avec des clous sans tête. Ce sera beaucoup moins visible. Pour conserver la bonne distance entre chaque latte, on les cale chacunes.
Les lattes sont donc séparées les unes des autres avec un peu de marge, afin que le bois puisse plus facilement sécher après la pluie.
L’armoire est à présent constituée de lattes imprégnées de chaque côté. Ce qui ne sera pas nécessaire pour la partie dorsale, puisqu’elle viendra de toute façon s’appuyer contre le mur de la terrasse.
Il s’agit à présent de réaliser les portes de l’armoire.
Cette première étape sur le coffrage s’est bien déroulée, dans le prochain épisode on va s’attaquer aux portes.
Une jardinière avec un espace de rangement. Dans l’épisode précédent, vous avez pu découvrir comment réaliser le coffrage de l’armoire. Dans la seconde partie, nous allons achever notre montage.
Les règles se retrouvent sur le dessus et le dessous, afin qu’aucun côté n’absorbe trop facilement d’humidité.
Il est temps de scier les morceaux hors du cadre, et pour les identifier facilement, marquez-les une nouvelle fois d’indicateurs correspondants.
On commence par les portes de l’armoire. Comme elle sera entreposée en extérieur, on utilise un bois imprégné, qui résistera mieux aux intempéries. Grâce à notre plan de coupe, tout a déjà été coupé préalablement, ce qui nous permet d’entamer de suite le montage.
Les chevilles vont assurer la connexion entre les lattes. C’est juste une question de forer à la bonne profondeur, et de poser un peu de colle à bois dans chaque trou. On profite de notre accessoire à chevilles et on indique la profondeur à l’aide d’un ruban collé sur notre mèche. Pour découvrir comment faire, rendez-vous sur notre site web.
Grâce au forage latérale de notre accessoire à chevilles, vous pouvez rechercher les marques que vous venez d’indiquer. Notre accessoire nous permet de forer à angle droit, ce qui est important pour une liaison correcte: si vous deviez forer de biais, vos chevilles se retrouveraient aussi de travers, d’où votre réalisation se retrouverait tordue.
Vous voulez en découvrir plus sur la réalisation d’un tel accessoire à chevilles? Visionnez le film correspondant directement depuis notre site web.
Toutes les règles de notre cadre sont prêtes, mais pour renforcer encore plus notre cadre, on va y ajouter une règle oblique.
N’oubliez pas d’ajouter un peu de colle à bois dans chaque trou à visser.
Il est conseillé d’enfoncer ces chevilles avec un petit coup de marteau de serrurier, ce qui permettra de plus facilement les fixer que si vous deviez le faire à la main.
Fixez le cadre ensemble, et là encore vous pouvez marteler légèrement, mais utiliser un petit support en bois afin de ne pas abimer le cadre.
Nous remplissons à présent le cadre de lattes transversales. Afin que tout soit bien connecté à angle droit, on clavete le tout.
On visse simplement quelques blocs et on enfonce la clavete au marteau. De cette manière, vous forcez toute la construction à se maintenir dans l’ angle droit de notre plan de travail. C’est aussi pour cela qu’il se constitue d’une bordure relevée à 90 degrés.
Sciez le bois sur mesure.
Pour renforcer le cadre, il y a aussi une latte oblique qui relie le coin avec l’angle opposé.
Afin de pouvoir monter le tout sur un cadre qui fait joliment 90°, on travail avec un plan de table dans laquelle on va réaliser un angle droit avec de longues lattes. Le bois sera ainsi contraint à n’être monté que dans un angle de 90°. Ensuite vous appuyez bien, ce que vous faites avec une clavette. Il suffit de visser quelques blocs, et ensuite enfoncer la clavette avec un marteau.
Sur le cadre de la porte viennent des lattes croisées, que l’on va d’abord scier sur mesure.
Les pièces sont collées les unes aux autres, et ensuite fixées avec des clous sans tête. Effectuer un serrage durant le séchage de la colle n’est pas nécessaire, les clous exercent déjà assez de tension.
Ces lattes se montent plutôt en y laissant un peu d’espace entre, ce qui permettra au cadre en bois de plus facilement respirer, par exemple lorsque le bois est humide, il pourra plus facilement sécher. Afin de conserver une distance identique à chaque fois, vous utilisez entre des pièces de bois de récupération ayant la même épaisseur.
Une fois la première porte terminée, vous pouvez retirer la clavette. Et on recommence pour la seconde porte.
Et c’est ainsi que s’achève la réalisation de notre coffrage. Il s’agira à présent de la métamorphoser en une véritable jardinière. Vous voulez découvrir comment procéder? Alors suivez bien notre prochain épisode!
Une jardinière avec un espace de rangement! Dans le précédent épisode, vous avez pu suivre la création du coffrage. Dans cette seconde partie, on va découvrir comment en réaliser les finitions.
Une fois les deux portes réalisées, on peut construire le bac. On prévoit donc deux tiroirs, et à côté vient encore un espace où on placera la poubelle pour la camoufler.
Pour ce montage, on utilise du multiplex. C’est solide, pas trop cher, et peut résister au vent. Ce qu’il aurait du mal à supporter en réalité c’est le contact directe avec de l’eau, d’où la jardinière est recouverte d’un bois imprégné.
Afin de conserver les parties déjà sciées bien à part, vous ne vous tromperez jamais si vous y apposez des symboles pour les retrouver.
Un bac tel que celui-ci se visse via la plaque arrière le long des côtés et du fond. Indiquez pour cela la moitié de l’épaisseur d’une plaque, afin de visser sur une ligne droite.
Une fois tous les trous vissés, vous pouvez tout positionner à angle bien droit sur la table de travail. Posez d’abord un peu de colle à bois. Pressez avec une clavette, mais afin de travailler un peu plus rapidement, des serre-joints supplémentaires seront très appréciables. Et vous pouvez alors commencer à visser.
Ce bac doit se situer en extérieur, il serait donc préférable d’utiliser des vis en inox. Vous aurez toutefois besoin de beaucoup de vis, et il est vrai que les vis en inox ne sont pas forcément les moins chères sur le marché. Mais étant donné que les bacs sont réalisés dans l’armoire, vous pourriez tout aussi bien utiliser des vis galvanisées que des vis standards.
Il est temps à présent de fixer le panneau du fond. Et vous le faîtes de la même manière que les précédents: poser de la colle, et visser une nouvelle fois. Le multiplex est par ailleurs assez tendre pour permettre à la tete de la vis de se noyer. Pas besoin d’une visseuse supplémentaire pour venir enfoncer les vis dans le bois.
Le bac reçoit encore à l’avant une bordure avec des blocs de bois. Indiquez, et sciez le bois sur mesure. Et faites le de suite pour le second bac.
Chaque latte se monte avec 4 vis. Les trous à forer ne doivent pas être précisément mesurés, posez simplement les lattes contre, et divisez les à l’oeil en des pièces de tailles similaires.
Pour le montage, prévoyez encore de la colle à bois. En prévoyant qu’il en existe plusieurs sorte! Dans notre cas, on utilise de la colle à bois Express, qui obtient déjà en 5 minutes sa solidification, ce qui vous permet de poursuivre rapidement le travail. La colle peut être utiliser sur toutes sortes de bois, de bois composites et même des laminades peuvent être collées.
Une fois les lattes fixéers sur les bacs, vous effectuez encore quelques trous devant. Vous pouvez ensuite coller le panneau frontal. Et via la partie intérieure, vous pouvez définitivement visser ensemble les différentes parties. De cette manière, vous ne verrez pas de vis apparaître sur les côtés extérieurs. Et le but est de construire deux bacs similaires avec ce système.
Là où viendra la poubelle, on prévoit encore un bac. Il est identique aux bacs précédents, en étant toutefois moins élevé.
On utilise nos propres serre-joints que l’on a nous-même bricolés, pour presser les panneaux sur un angle de 90°. Ce n’est pas si difficile à réaliser, et c’est ce qu’on vous démontre avec Dr.Matos. Inscrivez-vous déjà à notre newsletter, ce qui vous permettra de rester au courant de nos dernières publications!
Ici non plus n’oubliez pas d’ajouter un peu de colle à bois, et de finir toute la construction avec les bords relevés. Une fois le panneau frontal fixé, on peut glisser les bacs dans l’armoire avec des portes-tiroirs.
Lorsque vous en achetez, vous recevez des informations importantes: la longueur, le poids qu’ils peuvent porter, et quel écart vous pouvez lui donner. Ce qui se résume ici à une hauteur de 16mm.
Dans notre plan de construction il y a déjà une marge de 10mm de prévue, à laquelle on ajoute donc 16mm, ce qui fait 26mm de hauteur par rapport à la plaque inférieure.
Le montant se compose de deux pièces. On monte la pièce de base sur la partie inférieure du tiroir. Là où on doit avoir des trous à percer, on poinçone d’abord. Ce qui permettra aux vis livrées avec le montant de plus facilement mordre le bois.
Nous allons maintenant procéder à un travail en série. Montez donc sur tous les tiroirs les pièces de base des montants, de chaque côté du bac. Assurez-vous que les montants pressent bien contre les bords du bac, qu’ils se combinent bien, puisque le tiroir ne doit évidemment pas se bloqer dans l’armoire. Une fois toutes les pièces de base montées, il reste à fixer les montants restants à l’armoire elle-même.
Avec un morceau de bois récupéré, appuyez le montant à la bonne hauteur. Etant donné que le montant dispose à l’avant et l’arrière d’une courbe, la hauteur n’est pas totalement correcte: et cela aussi àa fait partie du bricolage: se demander pourquoi quelque chose ne fonctionne pas, et adapter une solution. En raccourcisant le morceau de bois, on trouve rapidement une solution.
Contrôlez aussi si le montant arrive à une hauteur assez élevée. Sur notre plan de construction, on prévoit une marge de 10mm, ici il sort à 6mm. En appuyant un morceau de bois par dessous, on parvient encore à ces 10mm.
Tout est donc question de pousser les montants suffisamment hauts pour les fixer immédiatement à la bonne hauteur.
L’écart entre les deux bacs doivent encore être supérieurs, et donc on ajoute encore une latte supplémentaire entre. Poinçonnez d’abord, et puis vissez.
On vérifie sur le total: il suffit de contrôler si les tiroirs sont faciles à insérer ou non.
Les portes de l’armoire sont encore un peu brutes, poncez quelque peu les bordures sciées. Ce qui offre un meilleur résultat.
Une porte doit pouvoir s’ouvrir et se fermer, et cela c’est évidemment grâce aux charnières. Il est temps de les fixer.
Pour monter une porte, il faut l’appuyer à la bonne hauteur avec quelques morceaux de bois. Indiquez où doivent venir les chevilles. Poinçonnez les trous à percer, et vissez.
Une fois que l’on a vérifié si l’armoire se referme bien, vous pouvez alors visser les fixations restantes. Et répétez pour la seconde porte.
Une armoire qui ne peut pas resté fermée ne sera pas pratique. On fixe ici une serrure magnétique. Elle dispose de deux ouvertures, dans lesquelles vous pouvez fixer des petites visses. Où viennent alors les plaquettes de métal dans la partier intérieure de la porte?
Un petit truc: laissez le clip de métal pendre à la serrure, marquez au feutre, et appuyez bien la porte de l’armoire pour la fermer. Les dimensions de la serrure se seront transposées. Vous savez donc où le clip métallique pourra être être vissé. Et procédé de la même manière pour la seconde porte.
Notre jardinière commence à avoir fière allure. Le bac reçoit encore par dessus une bordure en bois imprégné, ce qui évite que l’eau de pluie ne vienne ruisseler sur le multiplex. Pour une jolie finition, sciez le cadre de biais.
Et comment réaliser cela? Posez un côté court et long côte à côte. Indiquez quelle inclinaison vous souhaitez. Sciez les deux. Donnez pour le côté intérieur et extérieur le même écart. La marge est ici de 15mm, et reportez la même distance sur le côté opposé. Regardez où arrive la porte, et décalez de 15mm. Et à partir de ce point vous pouvez sciez une nouvelle fois de biais. Et répétez cette opération pour toutes les planches du cadre.
Pour le montage on refait la même chose: on pose de la colle, et dans ce cas, on ne va pas visser, mais fixer avec des clous. Les côtés du multiplex sont ici assez large pour enfoncer des clous.
Notre armoire est bientôt prête, mais on va tout de même encore ajouter des poignées. Deux morceaux de bois récupérés feront l’affaire. Indiquez les contours sur le bloc. Percez complètement au travers de l’armoire. Répétez pour une seconde poignée. Et vous pouvez à présent placer les vis sur le côté intérieur, et visser la poignée de l’intérieur. De cette manière, vous obtenez une connexion invisible, puisque de l’extérieur on n’apperçoit aucune tête de vis.
Le bac se retrouve en extérieur. Placez quelques pieds au dessous. Cela évitera à votre armoire de se trouver en contact avec le sol, ce qui lui ferait absorber de l’eau.
Le travail sur notre jardinière dans notre atelier est terminé. Il est temps de la placer dans notre jardin de rêve. On fixe encore un film, et vous remplissez la partie potager avec le terreau approprié. Vous ne disposez plus uniquement d’une jolie jardinière où vous pouvez travailler confortablement grâce à la hauteur, mais vous pouvez aussi y laisser tous vos outils, et il y a même de la place pour y ranger vos déchets. Pratique, non?